2003
Les visites des Rochegude et Dumolin
Les visites de Rochegude et Dumolin est une intervention dans l’espace public. Il s’agit d’un parcours à travers les passages couverts parisiens. Le départ de la visite guidée se fait place Colette, la durée est de 90 minutes. Nous jouons un montage de textes littéraires et je porte sur mon dos d’anciennes gravures, qui rendent compte de l’espace historique. Nous sommes déguisées en Rochegude et Dumolin, deux personnages inventés. notre public est informé de cette intervention par l’Officiel des spectacles.




2003
La Tarasque
La Tarasque, c’est un animal légendaire, que nous avons mis en forme. Elle a été présentée pour la première fois ( 9 novembre- 31 décembre 2002) à la galerie Lydie Rekow à Crest. c’est une supposition, elle symbolise notre relation psychique au centre commerciaux actuels.

2003
Les pots-aux-femmes
Bibelots, potiches et autres curiosités se présentent sous forme de pots en terre vernissée. Ils sont exposés en hiver 2002 à la galerie Lydie Rekow à Crest.







2003
Nature morte au couteau
La nature morte au couteau ou La boîte de Pandore évoque le rapport de la science à la mythologie.
Elle se développe autour d’une citation de Jacques Testart sur les OGM: « Les plantes transgéniques sont obtenues de façon aléatoire par bombardement de gènes, sans qu’on sache combien de gènes pénètrent dans la cellule, s’intègrent au génome, ni en quelle région de l’ADN. »
Elle a été accompagnée lors du vernissage de l’exposition collective Histoires de fruits et légumes ( 9 mars-1er mai 2003à la galerie Lydie Rekow d’une performance au cours de laquelle nous étions amenées à ouvrir la boîte.





2004
A coté rêve un sphinx accroupi
Dans le cadre de sa nouvelle politique en matière d’art contemporain et afin de renouer le lien avec l’École des beaux-arts, le musée du Louvre a invité Patrick Faigenbaum à travailler dans le musée pendant un an avec huit artistes du collectif Des Territoires.
L’exposition (12novembre2004-10 février 2005, Louvre médiéval) propose le fruit de ce travail, un regard singulier et kaléidoscopique sur le Louvre d’aujourd’hui qui concourt à tisser des liens entre passée et présent mais aussi à élargir la perception du musée.



